• Le meilleur des mondes

    de Aldous Huxley


    L'histoire : Défi, réquisitoire, utopie, ce livre mondialement célèbre, chef-d'oeuvre de la littérature d'anticipation, a fait d'Aldous Huxley l'un des témoins les plus lucides de notre temps.
    Aujourd'hui, devait écrire l'auteur près de vingt ans après la parution de son livre, il semble pratiquement possible que cette horreur s'abatte sur nous dans le délai d'un siècle. Du moins, si nous nous abstenons d'ici là de nous faire sauter en miettes... Nous n'avons le choix qu'entre deux solutions : ou bien un certain nombre de totalitarismes nationaux, militarisés, ayant comme racine la terreur de la bombe atomique, et comme conséquence la destruction de la civilisation (ou, si la guerre est limitée, la perpétuation du militarisme) ; ou bien un seul totalitarisme supranational, suscité par le chaos social résultant du progrès technologique.



    Elarinya en dit : Déroutant. Bouleversant. Troublant. Le mot qui convient ne me vient pas tout à fait. Le meilleur des mondes écrit en 1932 je le rappelle (prémonition ?) raconte l'histoire d'une société marquée par le bonheur. Le bonheur fondé sur l'ignorance, l'individualisme, le vice. D'une modérnité déconcertante, il arrive de se demander si cette société aseptisée évoquée n'est pas le XXIe siècle, heure de la modernité. Il n'y a plus de Dieu, plus d'amour, plus de rien, seulement des individus qui vivent tels des robots. Dire j'aime, je n'aime pas ce livre, aurait peu d'intérêt, en vérité, les questions qu'ils posent sont bien plus importantes que l'histoire en elle-même. Jusqu'où devont nous aller ? Quelles sont les limites de la modernité, de la technologie ? Le Sauvage est-il bien celui que l'on croit ? Il s'agit également d'une véritable réflexion sur le libre-arbitre, jusqu'au bout le personnage a le choix. En bref, ce livre est troublant et dérangeant, une lecture incontournable dans le domaine de la Science-Fiction (A lire également Fahrenheit 451). Petite remarque en passant, la couverture est horrible....

     


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  • Le skylab (2011)

    de Julie Delpy

    Avec Julie Delpy, Eric Elmosnino, Karin Viard...

    L'histoire : Juillet 1979, pendant les vacances d'été dans une maison en Bretagne. A l'occasion de l'anniversaire de la grand-mère, oncles, tantes, cousins et cousines sont réunis le temps d'un week-end animé. Chronique familiale pittoresque racontée par Albertine, dix ans, LE SKYLAB est aussi celle d'une époque particulière. (Source : Allociné)

    La critique d'Elarinya : Le skylab aurait pu être un bon film. Il se présente sous la forme d'une comédie familiale, pleine de bons sentiments, avec une pointe de nostalgie, rappelant ce qu'on était heureux au temps de l'inscouciance et du bonheur ineffable. On s'attend à de l'humour à la française, parfois un peu lourd, mais rien de bien méchant. Mais non, le skylab n'est pas un bon film, tout d'abord parce qu'il y a trop de personnages, trop de portraits successifs, seulement ébauchés, comme non-aboutis. Mais aussi parce qu'il y a trop d'inconhérences, et des longueurs qui n'en finissent pas. Le début, la fin, tout est décousu. Et par dessus tout, la grosse erreur de ce film, c'est que ce n'est pas drôle. L'humour à deux balles va au début mais au bout de la 15éme vanne pourrie, c'est vraiment lourd. Trop de lourdeurs, trop de mauvaises blagues, trop de trop. Une fois de plus, Julie Delpy semble avoir raté quelque chose, et être passée à côté du film qu'elle voulait faire. Cependant, je tiens à reconnaître le talent de certains enfants que l'on voit dans le film, particulièrement le personnage de Robert, joué par Léo Michel-Freundlich, qui est vraiment extraordinaire, bien que souvent relégué au second plan. Il sertait peut-être temps que mademoiselle Delpy comprenne qu'avoir une bonne idée ne suffit pas à faire un film.

    "Si ce "Skylab" est loin de la morgue des "Petits mouchoirs", le film n'en est pas moins embarrassant, fauchant une carrière de cinéaste modeste qu'on croyait loin d'une telle démagogie." Yann François pour Chronic'Art.com

    Le skylab


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  • The Artist

    2011

    de Michel Hazanicius

    The ArtistAvec Jean Dujardin, Bérénice Béjo...

    L'histoire : Hollywood 1927. George Valentin est une vedette du cinéma muet à qui tout sourit. L'arrivée des films parlants va le faire sombrer dans l'oubli. Peppy Miller, jeune figurante, va elle, être propulsée au firmament des stars. Ce film raconte l'histoire de leurs destins croisés, ou comment la célébrité, l'orgueil et l'argent peuvent être autant d'obstacles à leur histoire d'amour.

     

    Mon avis :

    Alors c'est le GROS COUP DE COEUR !

    Sorti il y a environ une semaine, The Artist, était très attendu par les cinéphiles histoire de savoir si oui ou non Dujardin mérite son prix d'Interprétation masculine à Cannes. Mais c'est également un grand paris de Michel Hazanavicius, celui de faire un film muet en Noir & Blanc. A l'heure de la 3D au cinéma, avouons que c'est audacieux, mais malheureusement, ça peut vite tomber dans le grand n'importe quoi. Mais The Artist suit bien son fil rouge, celui d'évoquer ce Hollywood d'antant, et cette brutale arrivée du cinéma parlant. Bien que l'histoire ne soit pas très développée, on apprécie la musique extraordinaire, et ce film aux tons si colorés bien qu'il soit en Noir & Blanc. De plus, on aime ce comique de situation et de geste où Dujardin excelle, sans oublier cette jolie histoire qui prête à sourire, et qui rend heureux. Arrive la question fatidique, Dujardin mérite-t-il son prix ? La réponse est bien entendu Oui (avec un grand O). Dujardin fait Dujardin, mais il le fait très bien. Des mimiques, du clownesque, de la sensibilité, du charme, tout est rénui en lui pour créer le si sympathique personnage de Georges Valentin. Mais avouons-le, le film repose sur lui, et sur lui uniquement. Berenice Béjo, bien que très sympatique, reste tout de même un peu fade à côté du grand Dujardin. Incroyable également ce numéro de Charleston extraordinaire. 

    Merci Monsieur l'Artiste ! 

    The Artist

     


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  • Une séparationUne Séparation
    Asghar Fharadi
    (2010)

     
    Avec Leïla Hatami, Peyman Moadi, Shabab Hosseini & d'autres.
    Pays : Iran.

     
    L'histoire : Lorsque sa femme le quitte, Nader engage une aide-soignante pour s'occuper de son père malade. Il ignore alors que la jeune femme est enceinte et a accepté ce travail sans l'accord de son mari, un homme psychologiquement instable...
     
    Mon avis : Une séparation, c'est le film iranien de l'année. Ours d'Argent de la meilleur actrice, Ours d'Argent du meilleur acteur, et enfin Ours d'or pour le film entier, le réalisateur Asghar Fharadi, n'a pas quitté Berlin les mains vides. Le cinéma Art & Essai prend donc du galon puisque j'ai pu voir ce film dans une grande salle, hors de la petite miteuse dans laquelle ce genre de films passent d'habitude. Le film  commence, le générique est long, ce sont des photocopies de carte d'identité. On ne comprend pas tout de suite, mais l'idée est intéressante. Puis les personnages se mettent enfin à parler, est le son chatoyant de la langue iranienne arrive jusqu'à nos oreilles. Une séparation, comme son nom l'indique, est l'histoire d'un homme et d'une femme qui se quittent. Le divorce, sujet peu habituel pour un film iranien, où nous le savons tous, le droit des populations est limité. Le film est plein de finesse, délicat, il ne montre pas, il suggère. Même si le film comporte quelques longueurs, il n'en n'est pas moins juste et vrai. On est entraîné dans cette famille, où les femmes sont libres et indépendantes et apprennent à se débrouiller seules. Simin s'habille en jean et chemise, porte des converses, et a les cheveux teints en rouge. Sa fille Termeh, met elle-même de l'essence dans la voiture de son père et négocie le prix avec le pompiste qui tente de l'arnaquer. Mais avant tout, Une Séparation, c'est l'histoire d'un homme et d'une femme qui se quittent, mais qui reste fou amoureux l'un de l'autre...
    Un petit bijou du cinéma étranger...
     
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    Une séparation



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  • TomboyTomboy
    Céline Sciamma
    (2011)
     
    Avec : Zoé Herann, Malonn Lévana, Jeanne Disson, Mathieu Demy...
     
    L'histoire : Laure a 10 ans. Laure est un garçon manqué. Arrivée dans un nouveau quartier, elle fait croire à Lisa et sa bande qu'elle est un garçon. Action ou vérité ? Action. L'été devient un grand terrain de jeu et Laure devient Michael, un garçon comme les autres... suffisamment différent pour attirer l'attention de Lisa qui en tombe amoureuse. Laure profite de sa nouvelle identité comme si la fin de l'été n'allait jamais révéler son troublant secret.
     
    Mon Avis : Après Naissance des pieuvres, Céline Sciamma revient sur un sujet qui semble lui tenir à cœur puisqu'elle aborde une fois de plus le thème de la recherche de l'identité sexuelle, mais cette fois-ci elle s'attaque aux écoles primaires, puisque Laure, son héroïne est âgée de seulement 10 ans. Télérama dit de ce film qu'il est "Admirablement interprété, tous âges confondus, le film impressionne par l'écart entre la simplicité de l'histoire et la complexité des questions soulevées." moi je dis mouais... Le problème est justement selon moi qu'elle ne pose aucunes questions, ou du moins ni réponds pas. Laure se fait passer pour un enfant, mais est-ce par jeu ou est-ce parce qu'elle se prend véritablement pour un garçon ? La deuxième réponse est à éliminer puisque au court du film Céline Sciamma nous prouve bien que Laure sait qu'elle est une fille et cherche continuellement à dissimuler sa féminité. Tout cela se présente donc comme un jeu. Mais peut-on parler de recherche d'identité sexuelle ? Laure ne fait que se prendre au jeu de Lisa en se laissant embrasser, d'un baiser qui peut paraître tout à fait innocent... D'ailleurs, combien d'enfants ont embrassé leur mère sur la bouche au cours de leur enfance ? Combien de petites filles se sont entraînées à embrasser en utilisant leurs sœurs ? Alors je me demande si tout cela ne serait pas du vent, personnellement je n'y crois pas. De plus, Laure s'habille comme un garçon, est coiffée comme un garçon, porte des chaussures de garçon, n'est-il pas normal qu'elle se prenne au jeu d'être un garçon ? Je ne comprends pas pourquoi cette piste-là n'a pas été explorée, car ce film pose beaucoup de questions, mais ne donne aucune réponse. Quand à la fin, c'est un peu du grand n'importe quoi que l'on donne à bouffer aux intellos pour qu'il soit contents. Qui peut croire que les enfants soient si tendre après un mensonge aussi gros ? Selon Céline Sciamma, baisser la culotte d'un enfant pour voir s'il s'agit d'une fille ou d'un garçon est violent. Si j'avais été dans une bande d'enfants et que la même situation s'était présentée, je pense que l'enfant en question serait rentré chez lui avec un oeil au beurre noir, parce que les enfants sont "méchants" et n'acceptent pas qu'on leur mentent, la violence des enfants c'est bien ça, ils ne se contente pas d'insulter quand ils peuvent frapper. Non décidément, il n'y a qu'un personnage que j'ai trouvé assez poussé psychologiquement : celui de la sœur de Laure qui accepte de se prêter au jeu de sa sœur, en faisant croire qu'il s'agit de son frère Michael. Âgée de seulement 6 ans, elle raconte à ses copines de l'immeuble qu'avant de déménager, ils habitaient dans un autre quartier, où Michael était le plus fort, le plus beau et toutes les filles en étaient amoureuse, mais lui n'aimait que sa petite sœur. Les révélations de la petite fille m'ont amenée à me demander si au contraire, l'ambiguïté ne se trouve pas là. Bref, pour revenir au sujet de départ, poser des questions tabous au cinéma c'est bien, basculer dans un film malsain sans aucune réponse ni moralité, non merci.
     

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    Tomboy



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  • Pirates des Caraïbes 4, La Fontaine de Jouvence

    Pirates des Caraïbes 4, La Fontaine de JouvencePirates des Caraïbes 4 : La Fontaine de Jouvence
    Rob Marshall
    (2011)
     
    Avec Johnny Depp, Penelope Cruz, Geoffrey Rusch, Astrid Berges-Frisbey, Sam Clafin & d'autres.
     
    L'histoire : Dans cette histoire pleine d'action, où vérité, trahison, jeunesse éternelle et mort forment un cocktail explosif, le capitaine Jack Sparrow retrouve une femme qu'il a connue autrefois. Leurs liens sont-ils faits d'amour ou cette femme n'est-elle qu'une aventurière sans scrupules qui cherche à l'utiliser pour découvrir la légendaire Fontaine de Jouvence ? Lorsqu'elle l'oblige à embarquer à bord du Queen Anne's Revenge, le bateau du terrible pirate Barbe-Noire, Jack ne sait plus ce qu'il doit craindre le plus : le redoutable maître du bateau ou cette femme surgie de son passé... (Allociné.com)
     
    Mon Avis : J'ai été profondément déçue par ce quatrième volet d'une saga qui jusqu'à alors n'avait rien à se reprocher. Rob Marshall nous prouve bien ici qu'avoir des têtes d'affiche ne suffit pas à faire un bon film. Des longueurs, de la lenteur, des incohérences, tout est réuni pour que ce film soit un mauvais film. Les déambulations burlesques de Jack Sparrow ne suffisent pas à faire passer un bon moment. On rit quelques fois, on soupire bien trop souvent et on se dit qu'ils se sont bien foutues de nous avec leur aventures passionnantes et pleines d'actions. L'apparition du personnage inutile de Pénelope Cruz ne fait qu'enfoncer le peu de dignité qui restait au film. Quant à la 3D, elle sert en tout et pour tout deux fois dans le film : lorsque Barbe-Noire pointe son épée, puis dans la pub pour les M&M's au début du film. A éviter à tout prix...
     
     
     
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    SimpleSimple

    Marie-Aude Murail

     
     L'histoire : Simple dit " oh, oh, vilain mot " quand Kléber, son frère, jure et peste. Il dit " j'aime personne, ici " quand il n'aime personne, ici. Il sait compter à toute vitesse : 7, 9, 12, B, mille, cent. Il joue avec des Playmobil, et les beaud'hommes cachés dans les téphélones, les réveils et les feux rouges. Il a trois ans et vingt-deux ans. Vingt-deux d'âge civil. Trois d'âge mental. Kléber, lui, est en terminale, il est très très courageux et très très fatigué de s'occuper de Simple. Simple a un autre ami que son frère. C'est Monsieur Pinpin, un lapin en peluche. Monsieur Pinpin est son allié, à la vie à la mort. Il va tuer Malicroix, l'institution pour débiles où le père de Simple a voulu l'enfermer, où Simple a failli mourir de chagrin. Monsieur Pinpin, dans ces cas-là, il pète la gueule. Rien n'est simple, non, dans la vie de Simple et Kléber. Mais le jour où Kléber a l'idée d'habiter en colocation avec des étudiants, trois garçons et une fille, pour sauver Simple de Malicroix, alors là, tout devient compliqué.
     
     
     Mon avis : Je n'ai, à ce jour, jamais été déçue par un roman de Marie-Aude Murail. C'est difficile à expliquer, mais je retrouve en cette brillante auteure de littérature jeunesse, quelque chose qui me colle à la peau, dont je ne peux pas me séparer. Une fois encore, je me suis laissée envoûtée par ces deux personnages, dont la richesse d'âme est incomparable. A travers une plume fluide et sincère, il s'agit d'une vraie histoire de vie  avec ces hauts et ses bas, ses jours avec et ses jours sans, car dans les livres de Marie-Aude Murail, on ne triche pas avec la vérité, on ne ment, on n'essaye pas de la déguiser, on la dit tout simplement, et ça donne de très beaux romans tels que Simple, pleins de justesse et de tendresse, qui nous prouve, que le plus bête n'est pas toujours celui que l'on croit.
     
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    Le Plus : Simple a été adapté à la télévision par Ivan Calbérac avec Bastien Bouillon, Julien Drion et François Civil où on passe un très beau moment. Cependant, rien ne vaut le livre !
     
    Simple

     


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  • Pas de critique, pas de résumé pour ce très joli film, à voir, tout simplement.
     
    "Dansez, dansez, sinon nous sommes perdus !"
     

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    Le péril jeuneLe Péril jeune
    Cédric Klapisch
    (1994)
     
    Avec Romain Duris, Vincent Elbaz, Julie-Anne Roth, Nicolas Koretzky & d'autres.
     
    L'histoire : Quelques jeunes hommes se retrouvent plusieurs années après avoir quitté le lycée. Ils assistent pendant son accouchement la compagne de leur meilleur ami, mort une semaine auparavant d'une overdose. C'est pour eux l'occasion de confronter leurs souvenirs.
     
    Mon Avis : Quel bonheur de voir Romain Duris et Vincent Elbaz dans un de leur tout premier rôle. C'est réussi, sans hésitation. Cédric Klapisch fait le portrait d'une époque où la jeunesse était blasée, voulait changer les choses mais ne savais pas par où commencer. Elle hésitait sur la conduite à adopter  fallait-il faire confiance aux institutions et passer son bac ou bien se rebeller ? Cela a-t-il vraiment changé aujourd'hui ? Quoi qu'il en soit, les acteurs sont très convaincants, la réalisation est parfaite, et l'intrigue est bien menée.
    Un film à voir absolument !
     
     
     
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  • La Nuit des tempsLa Nuit des temps
    René Barjavel
     
     
    L'histoire : Dans l'immense paysage gelé, les membres des Expéditions Polaires françaises font un relevé du relief sous-glaciaire. Un incroyable phénomène se produit : les appareils sondeurs enregistrent un signal. Il y a un émetteur sous la glace... Que vont découvrir les savants et les techniciens venus du monde entier qui creusent la glace à la rencontre du mystère ? "La nuit des temps", c'est à la fois un reportage, une épopée mêlant présent et futur, et un grand chant d'amour passionné. Traversant le drame universel comme un trait de feu, le destin d'Elea et de Païkan les emmène vers le grand mythe des amants légendaires.
     
    Genre : Science-Fiction
     
    Mon avis : La Science-Fiction étant un genre très particulier, très peu de gens se risquent à ouvrir un livre y appartenant. Pourtant, la Nuit des temps est bien plus qu'un récit de Science-Fiction. C'est une histoire d'amour, qui traverse les génération. Une histoire d'hommes tout simplement. A travers une plume incroyablement belle, Barjavel nous livre une histoire pleine de rebondissements et d'amour.
    A lire absolument !
     

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